Chantal et Sonia partagent une suite où elles ne descendent qu'en week-end. Le reste du temps elles boulottent chacune de leur côté. Ces soirs-là elles aiment bien s'offrir un peu de fantaisie. Elles ont décidé d'inviter un mec sympa pour partager des bulles et d'autres gâteries qu'elles ont en réserve pour lui. L'alcôve décoré avec goût invite à la détente et les filles se mettent bientôt à leur aise. Chantal langoureusement affirme que le champagne lui donne chaud et qu'elle doit enlever son petit haut. Bientôt, c'est Sonia qui ressent la même chaleur. À la vue des nichons lourds de l'autre elle ressent cette chaleur dans son ventre et se laisse chahuter par Chantal que le champagne émoustille. Elle se trouve sur le dos à recevoir les caresses, les baisers et les coups de langue de Chantal. Leurs jeux se poursuivent ainsi sous le regard un peu surpris du garçon. Elles se font vraiment tout ce qu'il voudrait leur faire. Elles en sont à se suçoter la moule en bête à deux dos. Elles se coulent dans la bouche l'une de l'autre, mouillent les draps, grognent comme des affamées jusqu'à ce que, toutes tremblantes elles se relèvent réalisant qu'elles ont tout à fait oublié l'autre. La soirée commence à peine. Elles devront se rafraîchir un peu pour continuer. Chantal a tout à coup le plaisir de sentir le regard du type qui l'a suivie à la douche où elle l'invite à la rejoindre sans façon. À son tour il pourra enfin apprécier la bouche savante de la blonde et goûter son entrejambe attendri. Rien ne sert de courir, chaque chose vient en son temps.

Une jeune femme brune se rend à un casting pour un bout d'essai. A son arrivée dans sa loge, une maquilleuse au sourire ravageur est là pour l'accueillir et l'aider à se préparer. Devant le corps magnifique de la comédienne, la blonde ne résiste pas et après quelques regards coquins échangés, elles tombent dans les bras l'une de l'autre. Tranquillement, les deux lesbiennes vont se déshabiller et s'installer dans le sofa pour se câliner. Ensuite à tour de rôle, les gonzesses vont se lécher les tétons et s'embrasser tendrement avant de se doigter, se bouffer le minou et se pénétrer à grands coups de phallus artificiels. Enfin, après une étreinte et des baisers des plus passionnés, l'actrice va se munir d'un gode ceinture et se déchaîner à grands coups de reins dans la fente béante de sa partenaire en levrette jusqu'à ce qu'elle exulte de plaisir.

Les deux nénettes au salon ont entrepris un petit jeu sensuel. Elles se goûtent mutuellement, se sucent les seins, le cou, se câlinent les bras, les guiboles, les crinières, se sentent, se hument. Comme des chiennes en chaleur elles se plaisent à jouer ensemble, à se contempler lentement, à se pourlécher les mamelons et se presser les sexes. Elles sont seules mais leurs peaux leurs jouent des tours et elles se pensent mille tellement le bout des seins est sensible et la chair savoureuse et soyeuse. Bientôt le divertissement devient sérieux, elles portent de moins en moins de vêtements et leurs effleurements atteignent des régions bien plus sensibles encore. De la pointe des nichons, elles passent à la bille qui luit de sueur à l'entrée de la caverne toute ouverte entre leurs jambes écartelées. Le frottement du clito, de l'oignon et du sanctuaire les excitent à un point si sensible qu'il se couvre de rosée de sueur. La soif de la chair de l'autre, de la moule de l'autre, de sa poitrine et de sa bouche est dévorante. Elle ne trouvera la paix que dans l'orgasme libérateur.