Description complète: Angelo Cruz se prélasse au soleil à ne rien faire, torse nu, il se caresse un peu l'entrejambe: il a une de ces envies de baise qui la tenaille tant. Le gars n'en peut plus, il est gonflé à bloc et il faut qu'il se branle pour se libérer. Il se retire un peu plus loin et sort de son froc une très longue manche non circoncis, Angelo se met à l'astiquer légèrement. Le pieu du gars devient alors de plus en plus grosse et longue au fur et à mesure qu'il se caresse, le salaud se masturbe au beau milieu de la campagne comme un pervers. Le mouvement de ses mains devient de plus en plus vite et le gars sent sa sève monter en lui comme un volcan prêt à exploser: il tient plus en place et éjacule comme un taureau en râlant, une bonne giclée de foutre épaisse sort alors de sa bite de cheval en trique.

Celui qui est assis, sera soumis. L'autre, se dresse devant lui, sa bite en face de sa bouche. C'est pourtant celui est debout qui va sucer le premier. Et comment ! Les deux gars nus s'embrassent avec fougue. S'ensuit vite une excitation incontrôlable chez les deux gars. L'un deux plante au fond de sa gorge la grosse queue de son ami. Par des mouvements de tête lents mais profonds, il gobe la totalité de la surface du chibre, alors dressé à son maximum. Le temps d'une caresse pour calmer les ardeurs, d'un baiser furtif et l'arroseur se fait arroser. Se faisant sucer la bite par son partenaire, qui s'excite dessus, la bouche avide. Il est tellement enflammé de sucer cette queue qu'il sent sa rondelle se lubrifier presque naturellement, la sentant s'ouvrir. Il est temps pour lui de se faire astiquer l'anus. La queue dure comme du roc, s'enfonce lentement entre les jambes douces et imberbes de monsieur, qui se masturbe au rythme des coups de pine que lui administre son partenaire. Ce dernier sent les contours de sa pine glisser et rayer les douces parois de son cul ! C'est dans un élan de foutre que les deux se partageront la sauce dans un long et doux baiser final…

Je donnais des cours de soutien scolaire à un bel universitaire. Celui-ci était avide de savoir. Je l'embrassais depuis un moment lorsqu'il se mit à genoux et commença à me lécher les couilles. Je savourai ce moment avec délectation. Je saisis sa grosse queue et la pompai avec délicatesse, tandis qu'il accompagnait mes mouvements avec ses mains posées sur ma tête. L'embrassant à nouveau, ma main parcourut son dos et mon doigt s'enfonça dans son délicat petit trou d'homme imberbe. Je le fis s'allonger et lui léchai avec énergie le trou du cul, ce qui le faisait bander encore plus. Dans notre étreinte, je le retournai et le plaquai contre moi, lui ordonnant de s'enfourcher sur moi, ses petites fesses d'innocent entre mes mains. N'écoutant que mon désir, je l'ai retourné et sodomisé avec force. Il se cramponnait à l'oreiller pour étouffer ses cris, mes voisins ne devant pas entendre le moindre bruit. Prenant sa revanche, il m'allongea sur le lit et me sodomisa comme jamais. Il me présenta fièrement sa bite gonflée à bloc, un petit sourire ravageur pendu à ses lèvres… Je me mis aussitôt à rêver à notre prochaine rencontre...