C'est un week end de trois jours et ces internes qui ne sont pas rentrés chez eux, s'occupent comme ils peuvent dans cette université désertée, enfin, c'est ce que croient les deux copains de chambrée, jeunes hommes d'une vingtaine d'années à la carrure de joueurs de foot qui se retrouvent dans leur piaule. Après de sensuelles étreintes, tout en se dévêtant, ils se montrent sans pudeur, exhibant leurs parties intimes et caressant leurs corps imberbes. Un bref échange bucco-génital et un des gaillards enfile un préservatif sur son sexe en érection, qu'il présente devant l'orifice étroit de son ami à la peau d'ébène et l'envahit d'un seul coup et lui pilonne furieusement le fondement. Mais un troisième larron, résidant de la chambre d'à côté, intrigué par les cris qu'il entend, les rejoint. Sans attendre, il est convié lui aussi à la fête, il introduit son sexe dans la bouche du sodomisé qui le suce gloutonnement. Il bande rapidement et se joint à l'assemblage sexuel pour une double pénétration anale intense. Ils se retirent, leurs membres tendus vont couvrir d'une douche de sperme blanc et chaud le corps hâlé et le visage de leur partenaire qui se masturbe et se jouit dessus lui aussi. Un après midi bien rempli pour ces étudiants gays débordant d'énergie

Encore dans un demi-sommeil, cet homme à l'allure virile, sa peau couverte de poils et un démon tatoué sur le bras gauche, rêve d'une compagnie masculine qui partagerait ses désirs les plus intimes car célibataire depuis trop longtemps cette solitude commence à lui peser. Une main posée sur son muscle pectoral proéminent dont il caresse le téton durci par l'excitation du songe qu'il est en train de faire, l'autre empoignant sa verge de belle taille, symptômes d'une érection matinale, qu'il masturbe vigoureusement, la pensant sans doute dans la bouche goulue ou pourquoi pas envahissant et allant et venant dans les profondeurs de l'anus d'un partenaire imaginaire. Ses paluches imposantes enserrent ses couilles puis dans un mouvement de poignet remontent le long de la tige toute raide jusqu'au gland décalotté qu'il recouvre à nouveau de son prépuce. Le corps tendu et le visage contracté par cette branlette enivrante, la pine dressé, il explose ! Une jouissance incontrôlée s'empare de lui, dans un gros soupir, un long et puissant jet de foutre gicle de son méat et lui couvre le torse et le ventre. Apaisé et vidé de sa semence, son membre se déraidit, lui reste inerte, le corps pantelant épuisé par cet orgasme violent.

Sur un banc public, un homme pensif attend le miracle. Il est seul mais son imagination l'emporte vers le paradis. Il imagine le plus beau des types, nu, la baguette déjà raidie, qu'il tient dans sa main. S'approchant de lui, il l'embrasse avant de saisir la baguette dans sa main pour la mettre entre ses lèvres tendres et la sucer longuement. C'est un beau spécimen, il a une odeur musquée, des gigots musclées, un ventre ferme et il apprécie les caresses de son partenaire et il se dresse et de toute sa hauteur lui saisit la tête. La baguette immense paraît encore plus grosse à deux pouces de ses yeux, il éprouve une forte impression… et désire ardemment cette baguette dans son cul. Il s'est déshabillé lui aussi et agenouillé sur le banc il tend ses fesses dans l'air souhaitant recevoir le pénis raide de son partenaire au fond de lui. Maintenant assis sur lui, il s'enfonce, la douleur fait place à une sensation de démangeaison que seule une vigoureuse friction pourra soulager. Il dirige le mouvement, solidement empalé sur la baguette du type, il l'enfonce plus creux encore, comme si c'était possible et son corps et sa baguette sont bandés dans l'effort. Ce banc se prête à toutes les positions qu'il adopte facilement avec son ami imaginaire. Lorsqu'il sortira de sa torpeur il aura du mal à s'expliquer comment tout ce bouillon a pu se retrouver sur son abdomen…