Entre l'aéroport et sa base, ce type a découvert un petit parc isolé où il peut à son aise stationner le minibus qui sert de navette aux voyageurs qu'il prend dans les hôtels et prendre sa pause. Là, sous les arbres, à l'abri des regards, il peut se livrer à son rêve, faire l'amour en plein air. Puisqu'il lui est interdit de prendre des passagers quand il n'est pas en devoir, il compense. Sa nana est faite de vinyle. Elle est soumise et silencieuse. Elle a les formes idéales et les trous qu'il faut pour ses besoins. Il la cache dans l'espace cargo de son minivan et la gonfle avant de s'en servir. À même le sol du car, il fouille sa fente artificielle et cherche dans ses souvenirs la sensation évanescente de son doigt dans la vulve d'une femme, la chaleur, la moiteur, la douceur de la chair, son odeur... De l'autre main il secoue sa baguette pour la garder droite et y faire doucement monter le plaisir pendant que le soleil caresse son dos. L'ambiance le stimule, la peur d'être surpris, d'être dehors en plein air… Aujourd'hui il a emporté une couverture qu'il a étendue sur le sol pour le confort de sa belle. Étendue là sur le dos, elle lui tendait les bras et il lui a fait l'amour, lentement, amoureusement et c'est lui qui en retirait le plus de plaisir. Quand le jeu est devenu plus brutal il l'a retournée et a enfoncé sa baguette dans son trou du cul. Bien excité, il a continué l'acte seul assis dans la camionnette. Il s'est masturbé et a joui avant de reprendre la route.