Ils se sont croisés sur les quais, leurs regards disaient tout. Sans échanger un mot, ils se sont emboîté le pas. Ils se sont retrouvés chez lui, ils n'ont pas hésité. Ils ne se connaissent pas mais connaissent déjà leurs membres… et retirant les attributs de leur époque comme autant d'obstacles à la vérité, ils remontent aux origines. Chaque muscle, chaque sillon connaît bientôt la langue de l'autre, la seule qu'ils aient en commun. Ces belles tiges se cherchent et leurs culs et leurs bouchent les dressent l'un contre l'autre dans des étreintes qui hérissent leurs épidermes de mille fibres nerveuses. Sur la terrasse leur amour domine la ville invisible. Sur le matelas ils se livrent à un amoureux combat à la rencontre de leurs deux cul-tures. Le trou du cul livre ses secrets passages à la bite enflammée du de fortune}}. La peau parcourue de frissons se couvre de sueur moite pendant que le membre s'enfonce plus loin, plus fort. Le javelot bien en main l'autre masturbe le cyclope jusqu'à l'éjaculation libératrice. Dans son dos le nectar des couilles de son adversaire aimé se fraie un chemin dans le sillon de son postérieur et c'est pur plaisir de le sentir rejoindre le sien au bout de son gland qui retrouve le repos du guerrier.